Temps du Carême Dimanche Laetare St. Pierre Utrecht 26-3-2006

JEU D’ORGUE
            

ACCUEIL
Soyez bienvenus ! vous tous qui cherchez ici la présence de l’Éternel !


 – SALUTATION
La grâce et la paix vous sont données de la part de Dieu le Père et de son fils Jésus-Christ, le vrai pain dus ciel, qui donne la vie au monde.

INVOCATION
Invoquons le nom du Seigneur afin qu’il soit avec nous tout le long de notre marche dans le désert…

Cantique spontané: Ps. 25: 2

 LOUANGE
Éternel, c’est toi qui es Dieu et il n’y a point d’autre Dieu que toi.
Nous sommes le peuple dont tu es le libérateur. À toi la gloire dans ton église et en Jésus-Christ. 


 CHANT D’UN PSAUME ps 105 :1, 6 et 7

6. Dieu fait sortir un peuple immense  qui s’est formé dans la souffrance.
Pour le guider s’allume un feu, pour le nourrir, le pain des cieux.
Ils avaient soif, et l’eau jaillit, signe de joie, source de vie.
                 
7. Tous ceux que le Seigneur libère  hériteront de cette terre.
Ils chercheront sa volonté,  ils trouveront leur liberté,
Et le Seigneur les unira  dans son amour. Alléluia !

PRIÈRE DE REPENTANCE.
Seigneur Dieu,   Pendant le carême nous essayons de scruter le mystère de la souffrance de notre Sauveur. Le rôle que les hommes ont joué dans le drame de la crucifixion nous remplit de honte et de tristesse.
Avec horreur nous voyons de quelle injustice l’homme est capable, et de quelle cruauté en plus.
                 
Sans raisons valables nous supposons qu’après vingt siècles un pareil comportement appartient au passé dans notre monde civilisé. Mais nous nous trompons, nous n’avons pas du tout changé en mieux.
Nous sommes aussi capables de cruauté et d’injustice que les Romains et les Juifs du temps de Jésus.
Le mystère de la souffrance de ton Fils unique et bien-aimé est au fond le mystère de nos péchés contre toi, contre nos prochains.
                 
Il ne nous reste plus qu’à de nous repentir et nous humilier devant toi. Nous remettons notre sort en tes mains. Ton fils est venu pour vivre avec nous la douleur et l’angoisse humaines et nous libérer de ce fardeau trop lourd à porter. Que sa miséricorde nous accompagne !
Lui seul est notre Sauveur.
C'est au nom de Jésus que nous te prions.  Amen.
      
Cantique spontané : Ps 32: 2

PAROLE DE GRÂCE    
Lorsque Jésus marche sur le flot des hautes eaux du lac de Galilée et la barque des disciples est en danger, il leur dit : Rassurez-vous, c’est moi, je suis avec vous, n’ayez pas peur.
Lorsqu’une foule en plein désert n’a pas de quoi manger, Jésus prend pitié de ces pauvres abandonnés et leur donne du pain et du poisson en abondance.
Lorsque nous avons grand besoin de son pardon, Jésus se penche sur nous avec compassion.
Croyons dons tout ce qu’il dit à ceux qui sincèrement se repentent et pour qui il a donné sa vie :
Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il (elle) ait la vie éternelle. Amen

                 
Cantique spontané : Ps 32: 4

 VOLONTÉ DE DIEU
Dans sa première lettre Jean écrit : (1J 3 : 16018)
16  Nous avons connu l'amour, en ce qu'il a donné sa vie pour nous; nous aussi, nous devons donner notre vie pour les frères.
17  Si quelqu'un possède les biens du monde, et que, voyant son frère dans le besoin, il lui ferme ses entrailles, comment l'amour de Dieu demeure-t-il en lui?
18  Petits enfants, n'aimons pas en paroles et avec la langue, mais en actions et avec vérité. Amen.
Cantique spontané 262 : 4

CONFESSION DE FOI
Avec les premiers témoins de Jésus-Christ,  confessons la foi en proclamant avec Jean-Baptiste : Voici l'agneau de Dieu qui ôte le péché du monde.
Avec André : Nous avons trouvé le Messie.
Avec Nathanaël : Tu es le Fils de Dieu, tu es le Roi d'Israël.
Avec Pierre : Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.
Avec les Samaritains : Nous savons que c'est vraiment lui le Sauveur du Monde.
Avec le centurion : Cet homme était véritablement Fils de Dieu.
Avec Marthe : Oui, Seigneur, je  crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde.
Avec Jean : Il est la lumière véritable qui éclaire tout homme.
Avec Thomas : Mon Seigneur et mon Dieu.
Avec le père de l'enfant malade : Je crois !
viens au secours de mon incrédulité.

Cantique spontané 188 : 1 et 3

Nous t’adorons car tu es mort, et tu vis pour les hommes.
Tu veux que nous soyons plus forts, si faibles que nous sommes.
Voici ta croix et ton tourment, et l’abandon, l’isolement
Où te laissa le Père ; mais tu es vivant désormais,
Et c’est en toi seul à jamais que notre vie espère.

PRIÈRE
Prions le Seigneur afin qu’Il nous donne l’intelligence de ce que nous lirons.
Seigneur, nous comprendrons ta parole seulement si ton Esprit-Saint accompagne nos lectures. Ta vérité ne se dévoile qu’au bon entendeur. Sois donc parmi nous afin que nous voyions briller partout la lumière de ton amour.
Amen.

LECTURES BIBLIQUES  Jean 6 : 1 –26
1 Après cela, Jésus passa sur l'autre rive de la mer de Galilée, dite encore de Tibériade.
2  Une grande foule le suivait parce que les gens avaient vu les signes qu'il opérait sur les malades.
3  C'est pourquoi Jésus gravit la montagne et s'y assit avec ses disciples.
4  C'était peu avant la Pâque qui est la fête des Juifs.
5  Or, ayant levé les yeux, Jésus vit une grande foule qui venait à lui. Il dit à Philippe: "Où achèterons-nous des pains pour qu'ils aient de quoi manger?"
6  En parlant ainsi il le mettait à l'épreuve; il savait, quant à lui, ce qu'il allait faire.
7  Philippe lui répondit: "Deux cents deniers de pain ne suffiraient pas pour que chacun reçoive un petit morceau."denarii de Tiberius
8  Un de ses disciples, André, le frère de Simon-Pierre, lui dit:
9  "Il y a là un garçon qui possède cinq pains d'orge et deux petits poissons; mais qu'est-ce que cela pour tant de gens?"
10  Jésus dit: "Faites-les asseoir." Il y avait beaucoup d'herbe à cet endroit. Ils s'assirent donc; ils étaient environ cinq mille hommes.
11  Alors Jésus prit les pains, il rendit grâce et les distribua aux convives. Il fit de même avec les poissons; il leur en donna autant qu'ils en désiraient.
12  Lorsqu'ils furent rassasiés, Jésus dit à ses disciples: "Rassemblez les morceaux qui restent, de sorte que rien ne soit perdu."
broodvermenigvuldiging13  Ils les rassemblèrent et ils remplirent douze paniers avec les morceaux des cinq pains d'orge qui étaient restés à ceux qui avaient mangé.
14  A la vue du signe qu'il venait d'opérer, les gens dirent: "Celui-ci est vraiment le Prophète, celui qui doit venir dans le monde."
15 Mais Jésus, sachant qu'on allait venir l'enlever pour le faire roi, se retira à nouveau, seul, dans la montagne.
16  Le soir venu, ses disciples descendirent jusqu'à la mer.


barque sur le lac de Galilée17  Ils montèrent dans une barque et se dirigèrent vers Capharnaüm, sur l'autre rive. Déjà l'obscurité s'était faite, et Jésus ne les avait pas encore rejoints.
18  Un grand vent soufflait et la mer était houleuse.
19  Ils avaient ramé environ vingt-cinq à trente stades, lorsqu'ils voient Jésus marcher sur la mer et s'approcher de la barque. Alors ils furent pris de peur,
20  mais Jésus leur dit: "C'est moi, n'ayez pas peur!"
21  Ils voulurent le prendre dans la barque, mais aussitôt la barque toucha terre au lieu où ils allaient.
22 Le lendemain, la foule, restée sur l'autre rive, se rendit compte qu'il y avait eu là une seule barque et que Jésus n'avait pas accompagné ses disciples dans leur barque; ceux-ci étaient partis seuls.
23  Toutefois, venant de Tibériade, d'autres barques arrivèrent près de l'endroit où ils avaient mangé le pain après que le Seigneur eut rendu grâce.
24  Lorsque la foule eut constaté que ni Jésus ni ses disciples ne se trouvaient là, les gens montèrent dans les barques et ils s'en allèrent à Capharnaüm, à la recherche de Jésus.
25  Et quand ils l'eurent trouvé de l'autre côté de la mer, ils lui dirent: "Rabbi, quand es-tu arrivé ici?"
26  Jésus leur répondit: "En vérité, en vérité, je vous le dis, ce n'est pas parce que vous avez vu des signes que vous me cherchez, mais parce que vous avez mangé des pains à satiété.

Chant d’un cantique : 275 : 1 et 3

Tu viens auprès de nous, ô Dieu, dans nos misères,
Car tu souffris la mort, tu partageas nos peines.
Tu rassasies nos cœurs et nos corps de ton pain.
Ton pardon est pour tous, ils sont déjà les tiens.

Lecture : Jean 6 : 32 – 40

32  Mais Jésus leur dit: "En vérité, en vérité, je vous le dis, ce n'est pas Moïse qui vous a donné le pain du ciel, mais c'est mon Père qui vous donne le véritable pain du ciel.
33  Car le pain de Dieu, c'est celui qui descend du ciel et qui donne la vie au monde."
34  Ils lui dirent alors: "Seigneur, donne-nous toujours ce pain-là!"
35  Jésus leur dit: "C'est moi qui suis le pain de vie; celui qui vient à moi n'aura pas faim; celui qui croit en moi jamais n'aura soif.
36  Mais je vous l'ai dit: vous avez vu et pourtant vous ne croyez pas.
37  Tous ceux que le Père me donne viendront à moi, et celui qui vient à moi, je ne le rejetterai pas,
38  car je suis descendu du ciel pour faire, non pas ma propre volonté, mais la volonté de celui qui m'a envoyé.
39  Or la volonté de celui qui m'a envoyé, c'est que je ne perde aucun de ceux qu'il m'a donnés, mais que je les ressuscite au dernier jour.
40  Telle est en effet la volonté de mon Père: que quiconque voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle, et moi, je le ressusciterai au dernier jour."

CHANT de la seconde strophe du psaume 36

PRÉDICATION

Jésus leur dit : Jean 6 :35 : Je suis le pain de vie.

Chers amis,
La lecture biblique d’aujourd’hui nous emmène à une région montagneuse. Jésus s’est retiré sur l’autre rive de la mer de Galilée. Il est fatigué.
Il espère prendre un peu de repos dans la solitude des montagnes.   Hélas, en vain !
Une fois installé avec ses disciples dans un lieu solitaire, il voit venir une grande foule avide d’entendre ses paroles et surtout d’assister à quelques guérisons miraculeuses.
Jésus, toujours plein de miséricorde, se rend compte de ce qui va bientôt leur manquer.
Il lève les yeux vers eux comme Dieu son Père tourne sa face vers son peuple à l’heure de la bénédiction.
En peu de temps ils auront faim, mais là où ils se trouvent, ils ne pourront pas s’approvisionner.
Que faire alors ? Jésus commence à discuter avec les disciples. « Philippe », dit-il, « où pourrions-nous acheter ici du pain pour tant de gens ? »
Mais Philippe ne répond pas à la question.
Il a d’autres soucis. Aussitôt il prévoit d’insurmontables difficultés financières.
Le groupe des apôtres n’a pas beaucoup d’argent dans la bourse.
« Une somme de deux cents deniers ne suffira même pas », s’écrie-t-il indigné, « pour que chacun reçoive un petit morceau »
C’est exact, mais j’ai envie de lui demander : À quoi bon de t’emporter, mon ami ?
Dans le désert l’argent ne sert à rien.
Nulle part, il n’y a du pain à acheter.
Mais Philippe a bien compris le défi, le sens caché de la question de Jésus : comment allons-nous donner à manger à ces gens, qui nous visitent ? Il s’est emporté à cause de son manque de compassion pour la foule, et la honte de son manque de confiance en Jésus l’attriste.

André, le frère de Pierre, par contre est un esprit pratique.
Dans la foule il avait déjà remarqué un petit garçon qui possède cinq pains d’orge et deux poissons.
Il avoue que ce n’est presque rien pour 5 mille hommes, mais c’est quand-même un premier pas sur le chemin de l’hospitalité.
En passant l’auteur de l’évangile nous rassure que Jésus savait d’avance ce qu’il allait faire.
Soyons donc tranquilles. Tout s’arrangera.
Quelques-uns uns dans la foule se rappellent sans doute le désert dont parle l’histoire sainte de leur peuple.
Dieu n’a-t-il pas nourri leurs aïeux pendant leurs 40 ans de voyage dans le désert du Sinaï ?
Chaque jour la fameuse manne descendait du ciel.
Parmis les gens rassemblés autour de Jésus quelques-uns s’attendent à un miracle. De nouveau Dieu répondrai à leur besoin de manger. Jésus relèvera le défi, lui-même.

Dans l’évangile selon Jean nous lisons, que les événements décrits dans le 6ième chapitre se déroulent du temps de la Pâque.
Et cette remarque me fait penser que l’évangéliste fait des allusions à l’Ancien Testament, à la première Pâque du temps de l’exode.
La montagne, le désert, la manne, la fête de la Pâque, Jésus remplaçant Moïse dans le rôle de prophète, tout cela me porte à croire, que Jean veut nous transporter par la pensée au commencement de l’histoire d’Israël…
Dans le chapitre 6 nous retrouvons même les flots agités par le grand vent mentionné dans l’Exode.
Dans ce livre nous lisons (en 14 : 12) que Moïse étendit sa main sur la mer. Et que l’Éternel refoula la mer par un vent d’orient soufflant avec impétuosité pendant toute la nuit.

Veuillez bien remarquer que nous n’avons pas affaire à une histoire qui se répète. Les composantes des deux situations se ressemblent seulement. Les flots du lac et les flots de la mer rouge ne sont pas identiques, quoiqu’elles soient tout aussi dangereuses… Moïse et Jésus ont été envoyés par Dieu afin de libérer son peuple choisi mais la délivrance accomplie par Moise diffère de celle qu’accomplit Jésus. L’ennemi de Moise est le Pharaon, mais Jésus n’engage pas de la même façon le combat avec les autorités romaines.
Au contraire, il se retire encore une fois sur la montagne tout seul pour empêcher la foule de le faire roi.
Il ne se prête pas à une parodie de sa vraie royauté.

L’apparition de Jésus dans notre monde crée une situation tout à fait nouvelle. Il est entouré de mystères et son langage étonne. Il prétend d’être descendu du ciel. Aussi est-il mal compris.
Ceux qui croient en lui acceptent ce qu’il dit.
Mais quelques habitants de Nazareth murmurent. Autre terme du Ancien Testament.
Tout comme le peuple Juif dans le désert de Sinaï murmurait contre Dieu, les concitoyens de Jésus murmurent contre lui, disant : celui-là, n’est-il pas Jésus le fils de Joseph ?
Ne connaissons-nous pas son père et sa mère ?
Comment peut-il déclarer, qu’il est descendu du ciel ?
L’église chrétienne soutient que les voisins de Jésus se sont trompés. Et je suis du même avis.
J’admets cependant, que de nos jours l’intérêt se porte avant tout sur l’humanité de Jésus. Mais je me demande si l’humanité de Jésus exclut sa divinité.

Les habitants de Nazareth nous diront qu’un homme est un homme, mais que Dieu est Dieu.
Mais Dieu et l’homme n’ont-ils donc rien en commun ?

N’y a-t-il pas une alliance entre l’homme et son Dieu ? Entre Dieu et son âme ? Ne sommes-nous pas fils et filles de notre Dieu ? Ne nous est-il pas permis de l’appeler : Abba, Père ? ou plutôt :Papa !
Ne veut-il pas que nous soyons saints, comme lui ?
Ne veut-il pas que nous soyons parfaits, comme lui ?
Ne nous invite-t-il pas à sa table, pour communier avec nous ?
Vous me répondez :
Ah, oui, mais Dieu est le Saint par excellence.
Il est la perfection même !
À mon tour je vous dis maintenant, que si Jésus est homme, l’écriture sainte me fait connaître un homme qui est la perfection même.
Un homme qui dans sa modestie s’appelle le fils de l’homme, et que d’autres ont appelé le Fils de Dieu, parce qu’il était tout le portrait de son Père céleste, son Père tout craché, comme disent les Français, dans le sens spirituel de ce mot.
Il lève les yeux vers la foule qui le cherche comme Dieu lève ses yeux vers les hommes qui s’approchent de lui pour la bénédiction.
C’est un signe de bienveillance de la part de Dieu et de son Fils. Dans sa bonté Dieu offre la paix aux hommes qui s’approchent de lui.
Il leur donne la plénitude de bonheur.

Jésus, le Fils qui est comme son Père, invite la foule à sa table de Pâque, il donnera sa vie pour eux, et pour nous, sur la croix.
Cet homme est tout le portrait de son Père céleste.
Je ne m’étonne pas du tout des mystères qui l’entourent.
Et l’humanité n’exclut pas la divinité !
Nous n’adorons pas un homme qui s’est fait roi, ou qui se fait lui-même l’égal de Dieu, nous adorons un homme qui a donné sa vie pour nous, un homme que Dieu a ressuscité, un homme qui est vraiment le pain de la vie éternelle.
Nous adorons Jésus, le fils de Dieu.

Vous voudrez savoir maintenant comment Dieu et son Fils veulent être servis. Vous n’avez qu’à demander et Jésus vous répondra. Voici la réponse :
Quiconque voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle et moi je le ressusciterai au dernier jour. Donc il vous faut croire. Tout simplement croire et faire confiance aux paroles de notre Seigneur.
Croyez et tout ce qui relève de l’éternité vous sera donné, la résurrection et la vie éternelle.
Soyez parfaits comme Jésus et aimez vos frères et sœurs, et même vos ennemis, et Dieu et son Fils vous accompagneront sur tous vos chemins.

Partagez ce que vous possédez comme l’enfant partageait les 5 pains d’orge et les 2 poissons, et vous vivrez en abondance avec vos frères et sœurs en Jésus-Christ.

Jésus a donné sa vie pour vous.
C’est lui qui est le véritable pain du ciel.
Amen.

JEU D’ORGUE

ANNONCES

COLLECTES 
: 1 ère   : but spécial
                      2ème : pour Saint Pierre

PRIÈRE D’INTERCESSION

O Dieu, nous nous tournons vers toi. Si tu discernes en nous quelque générosité, augmente-la par ta grâce ; lorsque notre désir de renouveau s’affaiblit, ravive-le par ta vérité ; et la créativité en notre cœur, approfondis-la par ta sagesse. Partout où surgit un espoir de réconciliation, que ta puissance nous unisse.
Suscite en nous un esprit sincère, la passion de la justice et le courage de nous engager sur ta voie prophétique. 
Tourne vers nous ta face, ô Dieu et insuffle-nous la vie de ton Esprit.
Nous aspirons à la justice, nous aspirons à la paix, à la fin des oppressions, afin que des chants de soulagement et d’amour montent vers toi.
Donne-nous assez de courage et d’espérance pour élever bien haut la flamme de l’espérance aux quatre coins de notre monde ! Au sud, à l’ouest, au nord, à l’est… avec ton église universelle partout où elle se trouve...

- Silence

NOTRE PÈRE:
Notre Père qui es aux cieux,
que ton Nom soit sanctifié, que ton Règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons  aussi à ceux qui nous ont offensés. 
Ne nous soumets pas à la tentation, mais délivre-nous du mal, car c’est à Toi qu’appartiennent le règne, la puissance et la gloire, aux siècles des siècles. Amen

CHANT D’UN CANTIQUE  264 : 1, 2 et 3

Le monde entier, ton merveilleux ouvrage,
Le monde entier te rend un humble hommage.
La mer, les cieux, sans se lasser jamais,
Chantent ta gloire, annoncent tes hauts fait.

A toi, grand Dieu, la gloire et la puissance
l'honneur, le règne  et la magnificence,
à Jésus Christ, notre libérateur,
à l'Esprit Saint, notre consolateur.

ENVOI –

BÉNÉDICTION :
La grâce de notre Seigneur Jésus-Christ,
L’amour de Dieu le Père   et
la communion du Saint-Esprit
est avec vous tous dès maintenant et à jamais.
Amen.

Cantique spontané 391 :

JEU D’ORGUE                                

3ème collecte à la sortie : entretien de Saint Pierre

Vous êtes tous cordialement invités au café fraternel
(sororel) au Foyer

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