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Orgues

Salutation et Invocation
Chers amis, soyez tous bienvenus dans ce temple.
La grâce et la paix vous soient données de la part de notre Dieu.

Invoquons le nom de celui qui restera à toujours notre bouclier.

Louons l'Eternel en chantant le psaume 84 :1, 2, 3 et 4.       


2. Heureux qui grave dans son cœur le chemin qui mène au Seigneur,
le chemin de l’humble service. Pour lui la source jaillira
et l’eau du ciel l’arrosera, dans la vallée la plus aride.
Dieu guidera jusqu’à la fin, au long des jours, le pèlerin.

3. Seigneur qui règnes dans les cieux, et nous écoutes dans ce lieu,
exauce –nous, sois notre garde. A toi nos cœurs ne cachent rien
quand tu regardes vers les tiens à ton Messie d’abord, regarde :
Vois son visage couronné, vers lui notre espoir est tourné.

4. Qui veut sur ton bras s’appuyer a pour soleil, pour bouclier
le rayonnement de ta grâce. Le dernier de tes serviteurs,
enfin découvre son bonheur à se tenir devant ta face.
Dans ta maison un jour vaut mieux que mille jours en d’autres lieux.

Dans la maison de Dieu se rassemblent ses en-fants. C'est sa famille qui s'y réunit en toute tran-quillité. Ici aussi le calme de l'intérieur de notre temple contraste avec l'agitation à l'extérieur. 
Le monde est bouleversé. 
Notre système économique est menacé. Et nous nous demandons s'il est pas en train de s'écrouler. Y a-t-il encore des convictions inébranlables ? 
Pouvons-nous encore faire confiance en les pro-messes de nos politiciens, tandis que les experts parlent ouvertement d'un avenir très incertain ? 
Sans doute la crise mondiale affectera nos vies. 

Mais la famille de Dieu a déjà surmonté tant d'adversités dans sa longue histoire. 
Jusqu'à maintenant elle a mis sa confiance en Dieu. 
Nos lectures d'aujourd'hui parlent des contretemps que les juifs et les chrétiens ont éprouvés au cours des siècles. 
Ils ont vaincu grâce à leur confiance en Dieu. 
C'est pourquoi j'affirme tout d'abord ce que nous croyons dans ce temple Wallon. 

Confession de Foi
Je crois en Dieu, le Père tout-puissant, 
créateur des cieux et de la terre. 
L'Éternel règne, il est Esprit, il est Amour.
L'amour de Dieu envers nous s'est révélé en ceci : alors que nous étions encore pécheurs, 
Christ est mort pour nous;
Je crois en Jésus-Christ, notre Seigneur. 
Il est venu chercher et sauver ce qui était perdu. 
Il est le Chemin, la Vérité et la Vie, 
le même hier, aujourd'hui, éternellement.
A ceci tous reconnaîtront que nous sommes ses disciples si nous aimons tous nos prochains.
Je crois au Saint-Esprit qui rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu.
Nous avons été baptisés d'un seul Esprit pour former un seul corps.
Je crois au Royaume de Dieu, à l'amour plus fort que la mort.
Je crois à la vie éternelle.
Amen !

Chant Spontané 328

Confession des péchés :
Seigneur, ta joie éclate dans la création 
et nous la voyons mal.
Ton Fils vient parmi nous, et nous le recevons peu!
Ton esprit souffle sur nous et nous peinons à l'entendre.
Tu nous aimes et nous l'oublions.
Tu nous sauves et cela nous importe peu.
Nous voici devant toi tels que nous sommes. 
Aide-nous à saisir ton pardon, 
à accepter ta libération et à vivre dans ta joie, même au milieu de la tempête. 
Au nom de Jésus-Christ, notre Seigneur. 
Amen.

Chant spontané: 362
 

Paroles de Grâce
Notre Seigneur est l'harmonie du monde
Il est l'espace protecteur
Il est la lumière dans la nuit
Il est la porte qui s'ouvre à nous
Il est l'ami toujours chez lui
Il est l'inconnu qui surgit
Il est l'appel du malheureux
Il est le Seigneur qui nous accepte
Il est notre joie
Il est la lumière, la vérité, le chemin
Il est notre sauveur en cet instant.
Chantons à Dieu notre reconnaissance!

Chant spontané:  367 :1

 
Prière d’accueil de la Parole.

Esprit de lumière et de vérité, éclaire pour nous la parole que nous allons entendre. 
Esprit de sainteté, pénètre nos pensées et nos cœurs 
et rends-nous ouverts à ta volonté. 
Esprit d'amour, de réconfort et de joie,
ravive en nous la flamme que rien ne puisse éteindre. 
Amen.



Lectures bibliques: dans l’Ancien Testament nous lisons  : Esaïe 45 : 1 – 10
45 :1 Ainsi parle l`Éternel à son oint, à Cyrus,
2 Qu`il tient par la main, Pour terrasser les nations devant lui, Et pour relâcher la ceinture des rois, Pour lui ouvrir les portes, Afin qu`elles ne soient plus fermées; Je marcherai devant toi, J`aplanirai les chemins montueux, Je romprai les portes d`airain, Et je briserai les verrous de fer.
3 Je te donnerai des trésors cachés, Des richesses enfouies, Afin que tu saches Que je suis l`Éternel qui t`appelle par ton nom, Le Dieu d`Israël.
4 Pour l`amour de mon serviteur Jacob, Et d`Israël, mon élu, Je t`ai appelé par ton nom, Je t`ai parlé avec bienveillance, avant que tu me connusses.
5 Je suis l`Éternel, et il n`y en a point d`autre, Hors moi il n`y a point de Dieu; Je t`ai ceint, avant que tu me connusses.
6 C`est afin que l`on sache, du soleil levant au soleil couchant, Que hors moi il n`y a point de Dieu: Je suis l`Éternel, et il n`y en a point d`autre.
7 Je forme la lumière, et je crée les ténèbres, Je donne la prospérité, et je crée l`adversité; Moi, l`Éternel, je fais toutes ces choses.
8 Que les cieux répandent d`en haut Et que les nuées laissent couler la justice! Que la terre s`ouvre, que le salut y fructifie, Et qu`il en sorte à la fois la délivrance! Moi, l`Éternel, je crée ces choses.
9 Malheur à qui conteste avec son créateur! -Vase parmi des vases de terre! -L`argile dit-elle à celui qui la façonne: Que fais-tu? Et ton oeuvre: Il n`as point de mains?
10 Malheur à qui dit à son père: Pourquoi m`as-tu engendré? Et à sa mère: Pourquoi m`as-tu enfanté?

Psaume 137 : 1, 2, 3 (en entier)



Là nos vainqueurs raillaient notre détresse:
Chantez-nous donc ces hymnes d'allégresse
Qui remplissaient jadis votre cité.
Comment ces chants pourrions-nous les chanter,
Et profaner sur la terre étrangère
Nos hymnes saints qui louaient Dieu naguère ?

Jérusalem, si jamais je t'oublie,
A mon palais que ma langue se lie
Et que m'oublie aussi ma propre main.
O seule joie, espoir qui seul m'étraint,
Que sous mes doigts nulle corde ne vibre,
Jérusalem, tant que tu n'es pas libre.


Lecture dans le Nouveau Testament: l’Évangile selon Matthieu 22 : 15 - 22

15 Alors les pharisiens allèrent se consulter sur les moyens de surprendre Jésus par ses propres paroles.
16 Ils envoyèrent auprès de lui leurs disciples avec les hérodiens, qui dirent: Maître, nous savons que tu es vrai, et que tu enseignes la voie de Dieu selon la vérité, sans t`inquiéter de personne, car tu ne regardes pas à l`apparence des hommes.
17 Dis-nous donc ce qu`il t`en semble: est-il permis, ou non, de payer le tribut à César?
18 Jésus, connaissant leur méchanceté, répondit: Pourquoi me tentez-vous, hypocrites?
19 Montrez-moi la monnaie avec laquelle on paie le tribut. Et ils lui présentèrent un denier.

20 Il leur demanda: De qui sont cette effigie et cette inscription?
21 De César, lui répondirent-ils. Alors il leur dit: Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu.
22 Étonnés de ce qu`ils entendaient, ils le quittèrent, et s`en allèrent.

Prédication

Chers ami(e)s,

Le psaume 137 est le plus triste de tout le recueil. 
Le peuple juif a du quitter son pays et chaque jour il se souvient de sa belle capitale détruite. L'amertume remplit son cœur. Les citoyens de Babylone n'ont pas de miséricorde. Au contraire. Ils se réjouissent de la présence de tant de captifs dans la ville. Et ils se moquent de la douleur des Juifs. De temps en temps ceux-ci prennent le frais au bord des eaux bordées d'arbres ombra-gés. 
Ils apportent leurs instruments afin de trouver un peu de conso-lation dans la musique, mais bientôt ils suspendent les cithares aux saules. 
C'est alors que les vainqueurs leur demandent une chanson joyeuse, un chant de Sion. Leurs bourreaux exigent que les cap-tifs entonnent un hymne en honneur du Dieu d'Israël, qui avait abandonné son temple, sa capitale, le pays promis et son peu-ple. Le créateur des cieux et de la terre est parti pour le ciel. Dieu se tient à l'écart. Louez votre Dieu, disent les ennemis. 
Quelle dure épreuve pour ses enfants ! 
Le Très Haut prend son temps. 
Il reste muet pendant de plus de 50 ans. 
Pendant des années sans fin. 
C'est à en perdre toute confiance. Il s'agit donc d'un ébranle-ment terrible de leur vie spirituelle. Leur temple s'est effondré et leur religion est sur le point de s'écrouler, quand la confiance en Dieu se dissout de plus en plus dans l'air. 

Il me semble que notre condition spirituelle est comparable à celle des exilés juifs à Babylone. 
De nos jours on parle beaucoup de la crise économique. La plu-part du temps les émissions de la télé donnent la parole à ceux qui ont étudié les différentes mesures des ministres de finances et des autres responsables. Mais parfois nous entendons la voix de ceux qui se penchent sur la vraie cause de la crise. Selon ces experts tout porte à croire qu'il faut la trouver dans un manque de confiance en le marché. À l'opposé de cette opinion je cher-che le remède à notre désarroi dans le rétablissement de notre confiance en Dieu.
C'est pourquoi je vous ai invités, déjà d'emblée, à écouter la confession de notre foi chrétienne. 
Elle renferme les convictions que l'Esprit inspire dans nos cœurs. 
La terminologie s'adapte à nos circonstances, tout en respectant la foi de nos ancêtres. Vous avez eu la bonté de m'envoyer la li-turgie avec la confession de foi d'il y a quinze jours. Je voudrais souligner qu'elle m'a frappé parce qu'elle exprime l'idée d'un dé-veloppement progressif sous influence de l'Esprit Saint. J'abonde dans cette opinion. 
Et je la vois entièrement confirmée dans notre première lecture. 

Le chapitre 45 d'Esaïe contient plusieurs surprises. 
Et voici la première : Après un demi-siècle d'exil Dieu envoie de nouveaux prophètes a son peuple. Donc après avoir gardé long-temps le silence Il reprend ses habitudes. Il restaure le contact personnel. Il s'adresse à son peuple. Enfin ! Pourquoi ? 
Par grâce ! Pour ne pas manquer à ses promesses d'antan. Même en se taisant, Il reste le Dieu de la délivrance. L'histoire du peuple juif témoigne de sa fidélité. Il s'est montré plus fort que le Pharaon. 
Il a su triompher de ce roi redoutable. Admirons la merveille d'une foule de pauvres esclaves qui ose se révolter contre un monarque inconcevablement puissant. Grâce à leur confiance en Dieu les rebelles ne sont pas écrasés. Au contraire : ils échap-pent à la destruction et leur adversaire a le dessous. Je suppose que les Juifs à Babylone se sont attendus à une délivrance sem-blable. Mais non ! Dieu le créateur de tout ce qui existe révèle sa créativité en fournissant une seconde surprise. 
Le monarque le plus puissant de cette époque, Cyrus le grand, le roi des Perses et des Mèdes, n'est pas du tout son ennemi. Il se vante de vénérer le Dieu des Cieux. Nous connaissons le texte d'un de ses décrets, soigneusement conservé dans la bible (dans le premier chapitre du livre d'Esdras). Dans ce document Cyrus déclare que ce Dieu lui a donné tous les royaumes de la terre et qu'il lui a commandé de lui bâtir une maison à Jérusa-lem en Juda. 
En parlant ainsi Cyrus reconnaît la souveraineté de Dieu. 
En même temps Dieu le reconnaît comme serviteur. 
Le prophète Esaie lui donne le titre de Messie. Dans la traduc-tion Segond ce titre se cache derrière le mot 'oint'. 
La T.O.B est plus explicite. Elle appelle Cyrus ouvertement le 'Messie'. En Hébreu nous lisons 'Mašiach'. Ça, c'est déjà la troi-sième surprise. 
Pour nous, et non moins pour les Juifs. 
Un païen que Dieu avait choisi, un païen consacré par une huile sainte, destiné à mettre en branle les projets grandioses de Dieu ! Le salut de tous les peuples est confié aux mains d'un étranger. 
Et tout cela évoluera sous les yeux du Très Haut. 

La profondeur et l'ampleur de ces révélations sont trop étonnan-tes pour y croire tout de suite. 
Il se peut qu'on me dise : cher ami, votre fantaisie est d'une ri-chesse incomparable. Peut-être ! Mais… devant Cyrus toutes les portes s'ouvraient. 
Dieu ne l'a-t-il donc pas tenu par la main ? 
Les fameux trésors cachés de Babylone n'ont-ils pas été accapa-rés par ce vainqueur ? 
Ne trouvons-nous pas la réalité dans les textes prophétiques à coté des révélations ? 
Votre prédicateur d'il y a quinze jours a résumé une bonne part de sa prédication en un seul mot que je cite : 'Utopique ?' A ce mot il a ajouté un autre : 'Certes !' Et pour finir il a continué : 'Comme tout l'Évangile.'
Et moi aussi, j'ai un mot à dire. 
Le prophète nous réserve des surprises vraiment exorbitantes. Pourrons nous faire confiance aux prédictions d'un inconnu dont les prophéties remontent au 6ième siècle avant Jésus-Christ ? 
Eh bien ! Il nous réduit au silence par une seule question, que nous trouvons dans le premier chapitre de son livre : 
Qui a sondé l'Esprit de l'Éternel ? 
Je vous invite à avouer avec moi que l'Esprit de l'Éternel est par-faitement capable d'étreindre le passé et l'avenir de sa création. Notre texte compare le Créateur à un potier, tandis que nous ne sommes que de l'argile. Cela me suffit. 

Vous voudrez savoir maintenant ce qu'a été la réponse des Juifs de Babylone ? 
L'auteur du livre ne nous la cache pas. 
Mais le texte n'est pas en bon ordre. 
Nous comprenons quand-même, qu'il y a eu des hommes qui n'étaient pas d'accord. 
Et le prophète s'écrie : Malheur à qui conteste avec son Créa-teur. Pour cette raison il me semble que la grâce du Seigneur n'a pas partout été accueillie avec beaucoup de grâce. 
L'explication des versets qui suivent est trop difficile à cause de leur obscurité. 
Je vous en fais grâce. 

Malgré le mécontentement signalé les Juifs n'avaient pas raison de se plaindre. En dehors de la liberté Dieu leur offre des pers-pectives de l'avenir. La prophétie ne parle pas seulement de la mission de Cyrus. 
C'est vrai que ce roi païen occupe une place d'honneur, mais malgré son titre de Messie, il n'est qu'un serviteur. 
Comme on dit du pape qu'il est servus servorum Dei, on peut soutenir, que Cyrus aussi n'est qu'un serviteur des serviteurs de Dieu. 
La position du peuple élu est restée ce qu'elle était. Sa vocation n'a pas été modifiée depuis la promesse faite à Abraham. Jus-qu'à aujourd'hui le peuple de Dieu est la source du bonheur de toutes les nations. Déjà sa seule existence pendant tant de siè-cles prouve la fidélité de Dieu à ce peuple malgré les pogroms et le massacre de la Shoah. L'indestructibilité de ce peuple unique est la preuve de l'existence de leur Dieu, qui est aussi le nôtre. 
Sa vocation de bénir les peuples est la raison d'être des Juifs. 
Ils nous ont donné la loi et la justice et enfin nous croyons avoir trouvé le Christ en Jésus, qui est un des leurs. 

Le pourquoi de leurs misères et de leurs souffrances dans l'exil n'est pas le sujet de nos textes d'aujourd'hui. 
Les triomphes de Cyrus, la chute de Babylone et le décret qui permettait le retour à la terre sainte, annonçaient un avenir joyeux. 
Oui, le prophète avait raison. 
Dieu est l'auteur du bonheur et de la prospérité, et il est surtout celui qui console et réconforte son peuple dans l'adversité. 
Il faut croire. Même au temps de crise et d'épreuve il ne faut pas perdre la confiance que le Seigneur vise au bonheur et à la joie de ses élus. 


L'Évangile nous peint le portrait de son Fils bien-aimé. Lui aussi n'a pas perdu la confiance en son Père. Certes, à ses ennemis qui méditaient sa mort, il a reproché leur hypocrisie et leur théâtre. 
Pourtant il ne les a pas rejetés. Restons donc fidèles à ce Dieu qui est amour et qui inspire confiance. 
Amen.

 

Jeu d’orgues

Communications et offrande !

Cantique:  249 : 1


Prière d’Intercession
Nous voici, ô Père, rassemblés en ta présence,
chacun de nous, avec sa vie que tu connais.
Chacun de nous, avec son passé, vient vers toi.
Toi qui es le Père de tous, le Seigneur de chacun,
Chacun avec sa vie que tu connais et son passé.
ouvre nos cœurs à ta Présence.

O notre Père, 
Tu vois que certains d'entre nous sont pleins d'amertume, de rancœur, d'anxiété.
Tu vois que d'autres encore sont fatigués par la vie, ont besoin de repos.
Tu vois que d'autres vivent encore une période heureuse de leur vie, pleine de plaisir et de sourire.
Tu nous accueilles tous, tu nous acceptes tous.
et nous, nous sommes heureux de venir à toi.

O Père, nous t'en prions, accueille ceux d'entre nous qui sont pleins d'amertume, de rancœur et d'anxiété.
Accueille ceux qui sont fatigués, qui ont besoin de repos.
Accueille ceux qui sont dans leur période heu-reuse, pleine de plaisir et de sourire.
O Dieu qui accueilles tous les hommes, qui nous acceptes tous,
nous sommes heureux de venir à toi. 
En esprit nous emmenons tous ceux qui sont malades, trop avancés en âge ou absents pour d'autres raisons…
Nous te prions pour eux en silence…
….
et nous te disons avec Ton Fils :
(debout et ensemble)


Notre Père qui es aux cieux,           
que ton nom soit sanctifié.
Que ton règne vienne.
Que ta volonté soit faite        sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui        notre pain de ce jour.           
Pardonne-nous nos offenses  
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous soumets pas à la tentation,   
mais délivre-nous du mal.
Car c’est à toi qu’appartiennent,    
le règne, la puissance et la gloire,
pour les siècles des siècles.           
Amen.

Cantique 289 : 1, 3, 5
>
Nous attendons la gloire que Dieu révèlera,
Heureux de la victoire qu’Il nous donne déjà.
La création entière au pouvoir du néant,
gémit, attend, espère, comme à l’enfantement.

L’Esprit qui nous habite fait de nous ses enfants ;
L’Esprit-Saint nous invite à vivre librement.
C’est lui qui vient en aide à nos cœurs indécis,
C’est lui qui intercède : « - O Père, nous voici… »


Bénédiction
La grâce de notre Seigneur Jésus-Christ
l’amour de Dieu le Père    et
la communion du Saint-Esprit
sont avec vous tous, dès maintenant et à jamais.
Amen.


Chant spontané: 391



Finale d'orgues